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Svetlana et Richard dans leur atelier

L’OFFICIEL HORLOGERIE & BIJOUTERIE : Outre
l’ouverture géographique, pourquoi “Edouard” est un assistant 3D
le digital vous a-t-il paru être le qui place le client dans les meil-
moyen évident pour un artisan de
se développer ? leures conditions possible de
RICHARD LARGET : En élargissant notre
zone de travail nous voulions dé- choix et de personnalisation de
des gens d’origines sociales très création d’alliance en ligne
velopper notre clientèle et toucher
diverses. Et surtout, avoir la place
nécessaire pour expliquer le plus R. LARGET : Il a fallu mettre à plat nos avec « Edouard », et d’autre part

fidèlement possible notre façon de méthodes pour retranscrire page de diffuser plus largement notre
travailler. Dans le digital, certaines par page, sur le papier, le schéma présentation régulière de pierres

technologies nouvelles comme la fidèle de notre fonctionnement à fines et précieuses sur le « Bar à

3D étaient parfaites pour montrer l’atelier. Aussi nous avons sélec- gemmes ».
nos savoir-faire et communiquer tionné les meilleures solutions Web
avec nos clients-internautes. pour le présenter et développer les L’OHB : Parlez-nous d’« Edouard »
fonctionnalités nécessaires à nos et de la création d’alliances per-
L’OHB : Vous étiez déterminés à re- besoins. C’est un travail de fond qui sonnalisables en ligne.
produire sur le net ce qui fonction- a pris deux ans. R. LARGET : « Edouard » est un assis-
nait avec les clients en boutique Mais le résultat est là : le digital tant 3D qui place le client dans les
physique. Comment avez-vous nous a permis, d’une part d’étoffer meilleures conditions possible de
travaillé pour y parvenir ? notre service de création d’alliances choix et de personnalisation de

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